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Droit routier

November 23, 2017

La défense représentée par Maître Richard Fiquet conteste le taux d'alcool indiqué par la présidente du tribunal correctionnel du Havre...

L'éthylomètre utilisé n'avait pas été vérifié depuis 2 ans et 2 mois.

A lire...

Assises : une épouse condamnée à 10 ans de prison pour la mort de son mari

December 11, 2014

«Je lui ai souvent donné des coups, il n’en est pas mort pour autant. » Interrogée jeudi sur sa vie, Patricia Lefèvre, dont le procès de deux jours devant la cour d’assises de la Seine-Maritime s’est achevé hier, n’a jamais nié les violences habituelles qu’elle faisait subir à la victime, Christian son mari.

Avant cela elle a avoué spontanément avoir été violée à l’âge de 14 ans et demi dans la forêt de Montgeon au Havre....

Au Havre 18 mois de prison avec sursis pour l'infirmière poursuivie pour homicide involontaire

May 16, 2017

Le drame remonte à début août 2009. Une infirmière avait injecté par erreur un mélange mortel à deux nouveau-nés prématurés. Le tribunal a ordonné une interdiction définitive de pratiquer des soins infirmiers hors services de gériatrie pour la jeune-femme en plus de la peine de prison avec sursis. Une infirmière du service néonatalogie de l'hôpital Flaubert du Havre, qui avait administré par erreur à deux bébés prématurés une substance ayant entraîné leur mort, en 2009, a été condamnée mercredi 31 mai 2017 à dix-huit mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel du Havre (Seine-Maritime).

Le 5 août 2009, la soignante avait administré par perfusion de l'électrolyte (un mélange de sodium et de potassium) aux deux nourrissons, âgés de 5 et 9 jours, alors que le médecin avait préconisé l'injection d'eau distillée.

L'infirmière de 37 ans a comparu pour homicides involontaires sur la personne de ces deux prématurés de sexe masculin. Le parquet avait requis trois ans avec sursis, pointant "une succession d'erreurs". Le tribunal a ordonné une "interdiction définitive de pratiquer des soins infirmiers hors services de gériatrie". L'infirmière pourra ainsi continuer à exercer dans le service de rééducation d'un établissement de santé où elle a été affectée depuis. Pour l'avocate de la jeune-femme, cette décision est incohérente

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